Voila deux petits texte écrit (pendant mes cours de français avant le bac ) pour lancé l'historique de mon armée Druchii (EN pour les simple humain).
"Voici maintenant plusieurs années que je mène cette vie de corsaire, alors que j’étais destiné à être un grand seigneur de ma race. Tout a commencé en ce jour de la belle saison, alors que l’Arche qui transportait mon armé était accostée sur la côte de Naggoroth, pour déposer les biens acquis sur les champs de batailles.
Un cors résonnas, je le reconnus c’était celui de mon géniteur qui venait pour me « proposer » des renforts sous la forme de ses Furies qui allaient donc rejoindrent l’équipage.
Or je savait parfaitement pourquoi elles étaient là : mon géniteur ouïe dire que d’ici peu je serais plus puissant que lui et donc je serai en mesure de prendre ce qui m’est dû : une partie des terres de mon géniteur. Elles devaient donc me surveillées et connaissant les Furies je savais quel sort m’était réservé. Ne pouvant point refusé ces « renforts » je les laissa monter dans l’Arche.
Tout se passa bien les premiers jours de notre voyage vers le vieux monde, mais lorsqu’ arriva le sixième jour alors que nous voguions vers notre destination, de ma cabine alors que je préparait la prochaine bataille contre ces immonde être que sont nos cousins les Haut Elfes, j’entendis une dispute qui éclata. C’était les Furies de mon géniteur qui provoquaient mes Exécuteurs, je sortis de ma cabine et m’approcha pour régler cette altercation, je pris la Draïch de l’un de mes Exécuteurs puis je fis un arc avec en direction de la Matriarche, lorsque je rendit l’arme à l’Exécuteur la tête de la Matriarche tomba au sol et roula dans un silence, je sentis une poussé d’excitation chez mes Exécuteurs qui se mirent à sourirent et se jetèrent sur les sublimes créatures dans une orgie de violence et les massacrèrent sans retenus.
Depuis se jour j’ai été déshérité et je suis devenu le capitaine d’une Arche Noire depuis laquelle je lance des raids pour m’enrichir et pour acquérir des terres où je préparerait mon armée dans le but d’exterminer mon géniteur et tu ce qui se mettra sur mon chemin.
"
"L'herbe verte de ce matin était maintenant toute ruisselante de sang, celui des Druchii et des orques.
La bataille avait été terrible pour les deux camps, je m'en rendis bien compte.
Pourtant je ne regrette pas cette journée de combats, car bien que les orques soient une race immonde et non civilisée j'éprouve de la sympathie pour eux, enfin pour leurs chefs qui n'hésitent pas à envoyer des milliers de soldats se faire massacrer et qui prennent plaisir à le voir. Leurs chefs ne sont pas comme ceux des Azur ou des humains car eux vont au combat en première ligne et ils ne craignent pas de se battre à un contre cinq, on pourrait même dire que cela les rend encore plus violents et déchaînés.
J'aurais aimé pouvoir discuter avec leur chef aujourd'hui mais je crois que les orques ne s'encombrent pas de paroles, c'est pour cela je crois que je ne sous-estime pas cette race, mais c'est surtout parce que quand leur chef était au milieu de ma lance il avait cette lueur dans les yeux qui montre que même en étant sur le point de mourir il pouvait encore combattre
comme si il venait d'arriver."
"Voici maintenant plusieurs années que je mène cette vie de corsaire, alors que j’étais destiné à être un grand seigneur de ma race. Tout a commencé en ce jour de la belle saison, alors que l’Arche qui transportait mon armé était accostée sur la côte de Naggoroth, pour déposer les biens acquis sur les champs de batailles.
Un cors résonnas, je le reconnus c’était celui de mon géniteur qui venait pour me « proposer » des renforts sous la forme de ses Furies qui allaient donc rejoindrent l’équipage.
Or je savait parfaitement pourquoi elles étaient là : mon géniteur ouïe dire que d’ici peu je serais plus puissant que lui et donc je serai en mesure de prendre ce qui m’est dû : une partie des terres de mon géniteur. Elles devaient donc me surveillées et connaissant les Furies je savais quel sort m’était réservé. Ne pouvant point refusé ces « renforts » je les laissa monter dans l’Arche.
Tout se passa bien les premiers jours de notre voyage vers le vieux monde, mais lorsqu’ arriva le sixième jour alors que nous voguions vers notre destination, de ma cabine alors que je préparait la prochaine bataille contre ces immonde être que sont nos cousins les Haut Elfes, j’entendis une dispute qui éclata. C’était les Furies de mon géniteur qui provoquaient mes Exécuteurs, je sortis de ma cabine et m’approcha pour régler cette altercation, je pris la Draïch de l’un de mes Exécuteurs puis je fis un arc avec en direction de la Matriarche, lorsque je rendit l’arme à l’Exécuteur la tête de la Matriarche tomba au sol et roula dans un silence, je sentis une poussé d’excitation chez mes Exécuteurs qui se mirent à sourirent et se jetèrent sur les sublimes créatures dans une orgie de violence et les massacrèrent sans retenus.
Depuis se jour j’ai été déshérité et je suis devenu le capitaine d’une Arche Noire depuis laquelle je lance des raids pour m’enrichir et pour acquérir des terres où je préparerait mon armée dans le but d’exterminer mon géniteur et tu ce qui se mettra sur mon chemin.
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"L'herbe verte de ce matin était maintenant toute ruisselante de sang, celui des Druchii et des orques.
La bataille avait été terrible pour les deux camps, je m'en rendis bien compte.
Pourtant je ne regrette pas cette journée de combats, car bien que les orques soient une race immonde et non civilisée j'éprouve de la sympathie pour eux, enfin pour leurs chefs qui n'hésitent pas à envoyer des milliers de soldats se faire massacrer et qui prennent plaisir à le voir. Leurs chefs ne sont pas comme ceux des Azur ou des humains car eux vont au combat en première ligne et ils ne craignent pas de se battre à un contre cinq, on pourrait même dire que cela les rend encore plus violents et déchaînés.
J'aurais aimé pouvoir discuter avec leur chef aujourd'hui mais je crois que les orques ne s'encombrent pas de paroles, c'est pour cela je crois que je ne sous-estime pas cette race, mais c'est surtout parce que quand leur chef était au milieu de ma lance il avait cette lueur dans les yeux qui montre que même en étant sur le point de mourir il pouvait encore combattre
comme si il venait d'arriver."