Mon histoire commence dans la province de l'Averland, moi Lucius Dominus capitaine du troisieme bataillon du compte me preparait à affronter les orques qui une fois encore devalaient les montagnes brulant et pillant tout sur leur passage.
Nous marchames de longs jours et enfin un soir nous l'aperçumes: une masse grouillante de peaux vertes s'étendait sur toute la plaine. Le jour declinant, la bataille fut reporter au lendemain. Bien que la nuit fut troubler par quelques gobelins tout de noir vetus, tout se passait selon mes previsions.
J'ordonna de placer une compagnie de grand canon de Nuln sur le flanc gauche accompagné par 2 regiments de lanciers. Le contigent de chevalier pantheres se prepara au centre tandis que mon fidele compagnon le pretre suldric encouragait les arquebusier avant de prendre place parmis les flagelants.
Mes 2000 hommes attendaient dans un silence oppressant mon ordre pour lancer l'offensive. Les orques, largement en superiorité numerique chargerent en scandant des cris bestiaux. La premiere vague se faisant promptement hacher menus par mes troupes de tir. la deuxieme s'ecrasant sur les rang discipliné des lanciers.
J'enfourcha mon fier destrier, ordonna la charge et dans un grondement de tonnerre la cavalerie percuta le flanc des orques.
Ce fut une boucherie, les lances de mes chevaliers transpercerent ces animaux, mon epee dessinant des cercles meurtriers dans les airs decoupant tetes et bras.
Il y eu un flottement puis des gobelins armé de boulet tournoyerent vers nos lignes, ces toupies flamboyantes massacrerent les lanciers avant d'etre arretés par une volee de tir provenant des arquebusiers.
Mais les orques en profitèrent en s'engoufrant dans la breche; Ils traverserent sans peine les rangs saccagés des lanciers avant d'arriver devant les flagellants.
pour les flagellants la fin du monde est peu etre proche mais se n'est pas une raison pour laisser les orques en paix.
Leurs lourds fouets de metal fenderent l'air avant de s'ecraser lourdement sur le crane des orques mettant fin a leurs geremiades.
La victoire etait notre quand soudain un orque enorme emergea de la melee pour se precipités sur Suldric.
Le brave pretre eu a peine le temp de se retourner que l'orque etait sur lui.
Il mourut avant d'avoir touché le sol.
Je le vengerait...
Nous marchames de longs jours et enfin un soir nous l'aperçumes: une masse grouillante de peaux vertes s'étendait sur toute la plaine. Le jour declinant, la bataille fut reporter au lendemain. Bien que la nuit fut troubler par quelques gobelins tout de noir vetus, tout se passait selon mes previsions.
J'ordonna de placer une compagnie de grand canon de Nuln sur le flanc gauche accompagné par 2 regiments de lanciers. Le contigent de chevalier pantheres se prepara au centre tandis que mon fidele compagnon le pretre suldric encouragait les arquebusier avant de prendre place parmis les flagelants.
Mes 2000 hommes attendaient dans un silence oppressant mon ordre pour lancer l'offensive. Les orques, largement en superiorité numerique chargerent en scandant des cris bestiaux. La premiere vague se faisant promptement hacher menus par mes troupes de tir. la deuxieme s'ecrasant sur les rang discipliné des lanciers.
J'enfourcha mon fier destrier, ordonna la charge et dans un grondement de tonnerre la cavalerie percuta le flanc des orques.
Ce fut une boucherie, les lances de mes chevaliers transpercerent ces animaux, mon epee dessinant des cercles meurtriers dans les airs decoupant tetes et bras.
Il y eu un flottement puis des gobelins armé de boulet tournoyerent vers nos lignes, ces toupies flamboyantes massacrerent les lanciers avant d'etre arretés par une volee de tir provenant des arquebusiers.
Mais les orques en profitèrent en s'engoufrant dans la breche; Ils traverserent sans peine les rangs saccagés des lanciers avant d'arriver devant les flagellants.
pour les flagellants la fin du monde est peu etre proche mais se n'est pas une raison pour laisser les orques en paix.
Leurs lourds fouets de metal fenderent l'air avant de s'ecraser lourdement sur le crane des orques mettant fin a leurs geremiades.
La victoire etait notre quand soudain un orque enorme emergea de la melee pour se precipités sur Suldric.
Le brave pretre eu a peine le temp de se retourner que l'orque etait sur lui.
Il mourut avant d'avoir touché le sol.
Je le vengerait...