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4 participants

    un debut d'histoir !! a vous de juger

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    aubrygilles
    Fantassin


    Nombre de messages : 39
    Date d'inscription : 17/03/2007

    un debut d'histoir !! a vous de juger Empty un debut d'histoir !! a vous de juger

    Message  aubrygilles Mar 10 Juil - 17:28

    Il était midi, à en juger par la hauteur du soleil , larzog marché sur un sentier que l’on pouvait situer dans les principautés frontalières sur le territoire de la forteresse naine de Karak Hirn, tous les sens aux aguets, il guettait une éventuelle perturbation de son environnement, en effet se coin grouillait de créatures divers comme des trolls, des ogres, des humains qui traînés en bandes et qui rançonnés les caravanes, quoi qu’il en soit ce coin été dangereux même pour un orque noir tel que Larzog, trois cent bon kilos de muscles et de fer pour une taille de trois mètres cinquante environ, même chez les orques on le considéré comme un spécimen de grande taille, ce qui lui valait le respect et une place au coin du feu avec une bonne part de viande dans chaque tribut rencontrée sur sa route. Larzog allé entrer dans sa quarantième année, un age avancé pour un orque ordinaire mais courant pour un orque noir, c’est d’ailleurs grâce à cela qu’il devait sa grande taille, car un orque ne s’arrête jamais de grandir au cours de sa vie. Contrairement aux autres orques il avait refusé de se sédentariser, et avait préféré la vie nomade, il ne refusait jamais de s’arrêter dans une tribut mais détesté la cacophonie perpétuelle d’un camp peau verte.
    Son seul compagnons, Clévia, été une laie géante, créature qui abondé dans les terres arides, qui lui avait été offerte par un chaman d’une tribut de l’est pour le remercier d’avoir éliminer un concurrent trop prétentieux, enfin bref, depuis ce temps elle ne lavait plus quitté et le suivait au grés de ses pérégrinations par delà le monde.
    C’était un temps pour la méditation et la rêverie, les oiseaux chantaient et à travers les branches des chênes centenaires le ciel été bleu, qu’espérer de plus pour l’instant. Cette appréciation de la vie été encore une chose qui le différencié des autres peaux vertes, lui même se rendait compte qu’il ne partageait pas le mode de pensée de ses congénères, aussi c’est l’une des raisons pour laquelle il avait quitté sa tribut d’enfance.
    Soudain clevia s’arrêta. Les oiseaux s’étaient arrêtés de chanter. Larzog se maudissait en silence de s’être distrait de la sorte, il se mit en position de combat, chose instinctive chez un orque, et recula peu a peu dans les taillis qui bordés la sente. Il attendit.
    Son ample cape sombre de couleur indéfinissable, le rendait presque invisible aux yeux d’un éventuel observateur empreintant la sente.
    Il jeta un coup d’œil a clevia, elle s’était dissimulé dans les buissons de l’autre coté de la sente. Un bruit de pas, celui d’une vingtaine de créatures de taille moyenne, des hommes vu l’odeur qui venait avec le vent, une odeur acre de sueur qu’il détestait. Les pas se rapprochaient et l’on pouvait entendre les rires gras des hommes, chose qu’il avait en horreur chez ces créatures, le rire d’une femelle humaine pouvait avoir quelque chose de sympathique, mais celui d’un mâle …
    Ça y’est il étaient visibles, ils étaient apparus derrière le tournant et comme prévu il étaient une vingtaine, avec des frondes, des arcs, des petites épées et des filets, une expédition de capture se dit-il, peu armée, légère et rapide mais du point de vue de la discrétion, il y avait mieux. Ce qui dénoté la fausse idée de sécurité qu’ils se faisaient. Erreur, grosse erreur. Il se décida de les laisser suivre leur chemin, il ne se sentait pas d’humeur à s’amuser gratuitement. Il se renfonça dans les buissons.
    On pouvait entendre leurs voies, si détestables.
    -Que foutait t-elle là j’me l’demande, une si croquante bestiole, je te la boufferait bien si on devait pas la ramener au chef, dit un des hommes.
    Une série de rire gras jaillie en réponse.
    -ouai mais ya aujourd’hui qu’on peut se mette se genre de chose sous la dent, renchérit un autre.
    -bon les gars on se la ferme s’est pas une promenade de santé, interrompit un homme qui devait avoir une certaine autorité comme le montrait son ton.
    Les hommes continuèrent d’avancer en silence. Larzog aperçut alors deux hommes qui portaient un paquet sur une branche qu’ils tenaient chacun par un bout.
    Sûrement la nourriture dont ils parlent depuis tout a l’heure avec enthousiasme, Larzog se mit à saliver, il se rendit compte qu’il n’avait pas mangé depuis la veille au soir quand il avait réussit à attraper un lapin rachitique. Tant pis il aurait d’autre occasions de trouver de la nourriture.
    Soudain un homme s’arrêta devant une touffe de ronces et cria après ses compagnons, Larzog fut aussitôt sur le qui-vive, sa compagne était en danger. Il bondit sur la sente en un rugissement caverneux propre à son espèce, son capuchon rabattu sur sa figure ne laissé entrevoir que ses yeux rouges vif, se qui fit forte impression sur les brigands, qui croyaient avoir affaires à un démon, le brigand qui s’été arrêtait se releva avec une dague en main, et comme il été le plus proche de Larzog, il prit son poing ganté de fer en pleine face, il tomba mort sans un cris avec la figure enfoncée. Remis de leur surprise les brigands sortirent leurs armes et essayèrent d’encercler Larzog qui, prévoyant cette manœuvre, enleva son capuchon et sortit sa grande hache à deux mains, aussi hautes que le plus grand de ses adversaires, et fit un moulinet avec, en allongeant quatre dans une gerbe de sang.
    Pauvres fous, songea t-il, il n’ont aucunes chances de survivre dans un tel pays et se disent les maîtres du lieu par leur assurance.
    Un grognement vint rompre le silence tendu qui s’était installé et clévia sortie des buissons juste derrière les brigands et chargea, envoyant au tapis une dizaine d’humains en leur arrachant les jambes avec ses défenses de la taille des nombreuses épées courtes que portés les hommes. Il se maudit encore de ne pas avoir réfléchit que Clévia été caché juste derrière les brigand et que ce n’été pas donc elle que l’homme avait découvert, trop tard pour reculer. Le reste de la troupe était coincé entre Clévia et lui sans aucunes possibilités de fuites par les cotés de la pistes à cause des buissons épineux trop denses pour qu’ils puissent se frayer un chemin avec leur taille. Sans prêter plus de sentiments Larzog termina d’exterminer la troupe réduite à cinq ou six individus trop peu armés pour pouvoir opposer une quelconque résistance. Son armure était couverte de sang, futilité se dit-il.
    Pour le moment il avait faim et c’est tout ce qui compté. En baisant les yeux Larzog vit sa dague dans la main du premier homme qu’il avait abattu, c’était donc ça le sujet d’étonnement des humains, se dit il, il détesté l’utilisation d’énergie en vain et se le reprocha. Il se souvint aussi du paquet que transporté les hommes, de la nourriture en perspective, il remonta la piste et le trouva enfin, il était en cuir et étudié pour y mettre du gibier pour faciliter le transport il était plutôt long et étroit, sans plus attendre Larzog arracha les coutures sur toute la longueur du sac et ce qu’il découvrit était hors de toutes attentes.


    Dernière édition par le Mar 10 Juil - 19:06, édité 1 fois
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    Message  Flux Mar 10 Juil - 18:15

    original de faire un texte sur un orque seul.
    A part quelques petites fautes (mais rien de bien méchant) on s'y croirait vraiment.


    amicalement
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    aubrygilles
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    Message  aubrygilles Mar 10 Juil - 19:05

    qd tu dis on s'y croirait vraimet , ça veut dire quoi ? stp , ya til moyen de me dire les points fort et les points faibles d mon récit stp ! bon bah javé lintention de le continuer mais si ça ne va pas jarréte ! il faut que mon récit soit intéressant ! donc moi je le trouve potable mais maintenant serait-il possible de faire une critique svp
    et en prime je vous fil la suite de l'histoire!!

    edit de flux:essaye de corriger ton orthographe s'il te plait.
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    aubrygilles
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    Message  aubrygilles Mar 10 Juil - 19:29

    Chapitre second


    Ce n’était pas de la viande, enfin pas a l’état brut, mais un « tout mou » enfin un humain quoi, en fait c’était plutôt bizarre pour être un humain, il avait une odeur inqualifiable, une figure aux traits fins et élancés, de longs cheveux blonds et sous les cheveux… des oreilles pointues !!
    Un elfe ou plutôt une elfe si l’on regardait attentivement son corps.
    Il fallait que ça tombe sur lui. Une elfe, en mauvaise état en plus, immangeable, et sûrement dotée de pouvoirs extraordinaires. A coup sur s’il resté là d’autres allaient lui tomber dessus. Mais il ne pouvait pas laisser cette bestiole toute seule en plein milieu de la sente à la merci premier venue.
    Il chargea donc son fardeau sur Clévia, rendu nerveuse par la bizarrerie de l’elfe. Il la coinça le plus confortablement possible entre ses fontes et la selle, et se mis en selle, il en fallait pas traîner dans le coin, il s’occuperait de l’elfe plus tard, elle n’avait pas l’air en mauvaise état, juste sonnée, à en juger par la bosse a l’arrière de la tête.
    -activ’ ! On a pas l’ten de trainer si tu tien a ta viande !
    Clévia se mit au galop, elle n’était pas aussi rapide qu’un cheval mais de très peu, de plus quel cheval pourrait supporter le poids de Larzog ?
    La nuit commencée à tomber quand ils arrivèrent à un cours d’eau, qui ne l’était en faite que par le nom puisqu’il ne s’agissait que d’un mince filet d’eau.
    Ce sera plus qu’assez, il avaient mis assez de distance entre le lieu de la bataille et eux et pouvaient donc s’autoriser un bref moment de répit.
    Il descendit de son sanglier et prit l’elfe pour l’allonger a coté du petit ruisseau, puis retourna enlever la selle et toutes les sacoches de Clévia, qui parti a la recherche de nourriture sans demander son reste. Ceci étant fait il revint prés de l’elfe, enleva son casque le remplit d’eau et le versa sur la tête de l’elfe.
    Il se passa une chose que même l’œil exercé d’un orque ne pu voir, en tout cas il se retrouva avec sa dague dans la main de l’elfe et posé sur sa gorge.
    Un silence tendu s’imposa.
    Ce fut l’elfe qui prit la parole en première.
    -que fais tu au dessus de moi ? Que fais tu a coté de moi ? Répond ou je te tranche la gorge ! demanda t-elle sèchement.
    Elle lui avait parlé en langage humain. Il chercha à se remémorer les mots qu’il avait apprit lors de sa jeunesse par les esclaves humains ramenés en butin par sa tribut.
    D’une voie caverneuse il répondit :
    -je crois que je t’ai tout simplement … sauvé …la vie !
    Sa connaissance du langage revenait peu a peu.
    -maintenant enlève ce couteau de ma gorge, tu ne pourrais même pas entailler ma peau sur la largeur d’un cheveu !
    l’elfe ne retira pas le couteau.
    -comment pourrais-je te croire, toi, produit d’une espèce, faite pour la traîtrise et le meurtre ! dit-elle, tu ne vau pas mieux que les pourritures qui mon faite prisonnière alors que je me reposais il y a deux jours.
    Un craquement. L’elfe tourna sa tête dans la direction du bruit, c’était Clévia qui revenait de la quête de sa pitance. D’un mouvement rapide , Larzog prit l’elfe par le poigné de la main qui tenait la dague et la souleva à deux bon mètres du sol. De son autre main il récupéra la dague. Il l’a tenait à bout de bras, elle ne pouvait plus rien tenter contre lui.
    -maintenant tu m’écoute ! dit-il, les brigands qui te tenaient captive sont mort de ma main, si j’avais voulu te tuer je l’aurais fais bien avant et je n’aurais pas pris la peine de te réveiller. Maintenant tu m’excusera mais je n’ai rien mangé depuis hier soir, je vais donc allé chasser.
    Il lâcha l’elfe qui retomba lestement sur ses deux jambes.
    -Un orque qui dispose d’un elfe sous sa main et qui ne la tue pas sur le champ ! Mais qui es tu ?
    Il se contenta de lui tourner le dos et parti dans l’obscurité des arbres.
    -Clévia te protégera s’il y a besoin ! Ne la regarde pas droit dans les yeux et si tout se passe bien je reviens dans peu de temps !cria t-il par-dessus son épaule
    Qui suis-je ? Je ne le sais pas moi-même ! pensa t-il, enfin bon l’urgence du moment été de chercher de la nourriture en suffisance pour tenir le coup jusqu’à la sortie de cette forêt.
    Il repéra la trace d’un cerf, elle été toute récente, tant mieux. Après une demi heure de marche il tomba sur l’animal. Il brouté dans une clairière, et ne capté pas l’odeur de l’orque qui avait prit la précaution de se mettre contre le vent. Larzog était à quinze bons mètres de la bête. Il sortit sa fronde la chargea d’un caillou et la fit tourner rapidement brusquement il se releva et lâcha la pierre qui une fraction de seconde plus tard explosait la tête du grand cerf. Il se félicita, il avait appri à se servir d’une fronde avec des ogres en maraudes avec lesquels il avait parcouru un bout de chemin il y a des années de cela.
    De retour au camp il trouva l’elfe perdue pensive devant un feu qu’elle avait allumé, une réserve de bois était entassé non loin de là.
    Instantanément Larzog bondit pour éteindre le feu dans un flot de jurons typiquement orques.
    -pauvre folle, vous voulez notre mort ! Là où l’on est placé un feu peut se voir sur plusieurs centaines de mètres voir un bon kilomètre !
    En effet le terrain étant vallonné même avec les arbres un feu ne passait pas inaperçu.
    L’elfe le regardé avec un mélange de peur et de surprise. Et se contenta de répondre en béguaillant :
    -je… je …ne savais pas ! Je n’y avais pas pensé.
    -Vous venez d’où pour ne pas savoir de telles choses ? Ceux de votre espèce sont censés être versés en la matière !
    -je suis une guerrière pas une coureuse des bois ! De plus je suis encore en formation ! répliqua t-elle en reprenant de l’assurance.
    -en formation ? que veut dire ce mot ? demanda t-il
    N’ayant pas une pratique courante de la langue il ne saisissait pas le sens de tous les mots même s’il en connaissait un vaste registre.
    -je suis encore trop jeune pour accéder au titre de guerrière. Je n’ai que cinquante trois ans, répondit-elle.
    Mais elle été plus âgé que lui et en paraissait trente de moins. Encore une chose à ajouter à la bizarrerie des elfes.
    -et que faisiez vous dans cette forêt a par vous reposer bêtement ?
    elle parut saisir la pique mais ne la releva pas.
    -Pour conclure ma formation je suis censé partir pendant une année dans le vaste monde pour acquérir une certaine expérience me disent t-ils, jusqu’à présent je n’ai réussis qu’à m’attirer des ennuis. Si vous n’aviez pas été là, je le reconnais, je n’ose imaginer ce que m’auraient fait ces brigands à leur camp, elle frémit à cette pensée.
    Larzog crut comprendre ce qu’elle voulait dire, les humains on tendances à assouvir leur désir sexuel sur leur homologue féminin et cela de grés ou force, ils appelaient cela le viol, les elfes ayant les mêmes caractéristiques physiques que les hommes ils ne sont pas a l’abri de ce genre de choses. Un caractère barbare, eux qui se disent civilisés et « humain ». Une race de fous. A une exception prés les orques avaient l’esprit de combat dans le sang, ils accomplissaient des actes barbares mais c’est dans leur nature, c’est instinctif, tandis que l’humanité est exempte de cela et ne fait cela que par bêtise et avidité.
    - comprenez le bien si je vous ai sois disant sauvé ce n’est que par erreur même si je ne le regrette en aucuns cas, si vous voulez rester en ma compagnie le temps que l’on quitte cette forêt il faudra que vous montriez un peu plus de prudence et de clairvoyance envers ce qui vous entoure, dit-il.
    - Qui a dit que je voulais rester avec vous ? répliqua t-elle.
    - Pour le peu que je connais de votre race je pense que vous faites preuve d’un emportement qui est inhabituel pour un elfe et d’une imprudence royale ! vos chances de survie dans un tel milieu sans moi sont quasi nulles ! si vous n’avez pas été attaqué par les fauves qui rodent aux alentours vous ne le devez a qu’à moi, si vous n’êtes pas a ce moment dans la couche d’un quelconque humain, c’est grâce a moi, vous voulez que je continue ?
    - Vous êtes bizarre pour un orque, je n’ai pas encore rencontré vos semblables mais d’après ce que l’on ma dit sur les orques, vous êtes tout a fait l’opposé, êtes vous vraiment un orque ? demanda t-elle.
    - Ce que l’on vous a dit sur les orques en général est vrai, mon cas n’est pas unique, les chamans d’un certain age pense comme moi, pour la plupart, le problème et que je suis un orque noir, comme vous nous appelez, je bénéficie de la capacité de réflexion dont disposent mes pareils au contraire d’un orque de base, je vais dire, qui n’agit que sur instinct, mais il est vrai que je me sens différent des autres ! maintenant j’aimerais être au calme un moment le temps de préparer mon repas !!
    Il commença à découper des tranches de viandes et à les engloutir sous le regard de l’elfe interdit.
    -mais vous mangez la viande crue, sans feux ! dit-elle, c’est …
    -normal et j’ai toujours fais comme ça !répondit-il avec impatience.
    -Oui mais et moi comment je fais ?
    En plus il fallait nourrir cette créature incapable de se débrouiller toute seule. Encore une source d’ennuies en perspective. Il lui envoya quelques bouts de viandes, qu’elle se contenta de mettre sur les pierres encore chaudes du feu en jetant un regard dégoûté à l’orque qui avalait la viande avec un concerto de bruits fort déplacés.
    -au fait comment t’appels tu ? demanda l’elfe
    - le chaman de la tribut qui m’a vu naître ma nommé Larzog et toi ?
    - Daena !
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    Message  Nostradamos Jeu 30 Aoû - 19:51

    Mmmm très bonne suite, ton "roman" commence à prendre forme j'ai hate de voir la suite. Avec tous mes encouragements...

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    Message  sephiroth Ven 31 Aoû - 1:38

    Bon dans le fond ton texte est super j'adorre. Mais tu demandes des aides pour t'améliorer et je vais essayer de t'en donner.

    -La première est que tu utilise l'imparfais mais le conjugue presque jamais comme il faut :

    traînés/rançonnés/été

    Voilà bon c'est pas méchant mais tu le fais presque pour chaque verbe.

    -Deuxième point tu fais des phrases beaucoup trop longues par moment :

    Il était midi(,) à en juger par la hauteur du soleil (,) . Larzog marché sur un sentier que l’on pouvait situer dans les principautés frontalières sur le territoire de la forteresse naine de Karak Hirn,. Tous les sens aux aguets, il guettait une éventuelle perturbation de son environnement, en effet se coin grouillait de créatures divers comme des trolls, des ogres, des humains qui traînés en bandes et qui rançonnés les caravanes,. Quoi qu’il en soit ce coin été dangereux même pour un orque noir tel que Larzog, trois cent bon kilos de muscles et de fer pour une taille de trois mètres cinquante environ,. même chez les orques on le considéré comme un spécimen de grande taille, ce qui lui valait le respect et une place au coin du feu avec une bonne part de viande dans chaque tribut rencontrée sur sa route.

    Voilà la première phrase que le lecteur se mange dans les dents ^^. (Je t'es mis en rouge les modifications que j'aurais faites juste pour la ponctuation.( quand je met ("?") ça veut dire que je supr.))

    -Bon puis des fautes pas trés graves mais par exemple une phrase comme :
    arzog marché sur un sentier que l’on pouvait situer dans les principautés frontalières
    Pouvais exprime que l'on peut ne pas le situer, or le sentier y est constemment. Préfère enlever le verbe est faire :
    "arzog marchais sur un sentier que l'on situais dans les principautés frontalières. " Encore que là encore cette phrase qui du point de vue de l'orthographe est juste, de la grammaire également, on sens qu'il y a un quelque chose avec ce situer. C'est qu'il n'est plus utilisé, préfère un verbe d'action, comme "zigzaguant", sa laisse penser aussi que arzog zigzague et donc èrre un peu.
    Bon c'est juste un exemple. Mais globalement il faut que tu te relise bien et t'imagine à la place du lecteur, qui ne connais pas ton personnage et doit le découvrir. Il faut que tu te sorte de ton premier jet, on sens que les longues phrases sont directement sorties de ton cerveau, et son écrites comme elles viennent.

    Bon c'est pas des supers conseils mais voilà en gros ce que je dirais sur ton histoire qui est super, mais on demande des critiques alors . . . ^^

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