Il était midi, à en juger par la hauteur du soleil , larzog marché sur un sentier que l’on pouvait situer dans les principautés frontalières sur le territoire de la forteresse naine de Karak Hirn, tous les sens aux aguets, il guettait une éventuelle perturbation de son environnement, en effet se coin grouillait de créatures divers comme des trolls, des ogres, des humains qui traînés en bandes et qui rançonnés les caravanes, quoi qu’il en soit ce coin été dangereux même pour un orque noir tel que Larzog, trois cent bon kilos de muscles et de fer pour une taille de trois mètres cinquante environ, même chez les orques on le considéré comme un spécimen de grande taille, ce qui lui valait le respect et une place au coin du feu avec une bonne part de viande dans chaque tribut rencontrée sur sa route. Larzog allé entrer dans sa quarantième année, un age avancé pour un orque ordinaire mais courant pour un orque noir, c’est d’ailleurs grâce à cela qu’il devait sa grande taille, car un orque ne s’arrête jamais de grandir au cours de sa vie. Contrairement aux autres orques il avait refusé de se sédentariser, et avait préféré la vie nomade, il ne refusait jamais de s’arrêter dans une tribut mais détesté la cacophonie perpétuelle d’un camp peau verte.
Son seul compagnons, Clévia, été une laie géante, créature qui abondé dans les terres arides, qui lui avait été offerte par un chaman d’une tribut de l’est pour le remercier d’avoir éliminer un concurrent trop prétentieux, enfin bref, depuis ce temps elle ne lavait plus quitté et le suivait au grés de ses pérégrinations par delà le monde.
C’était un temps pour la méditation et la rêverie, les oiseaux chantaient et à travers les branches des chênes centenaires le ciel été bleu, qu’espérer de plus pour l’instant. Cette appréciation de la vie été encore une chose qui le différencié des autres peaux vertes, lui même se rendait compte qu’il ne partageait pas le mode de pensée de ses congénères, aussi c’est l’une des raisons pour laquelle il avait quitté sa tribut d’enfance.
Soudain clevia s’arrêta. Les oiseaux s’étaient arrêtés de chanter. Larzog se maudissait en silence de s’être distrait de la sorte, il se mit en position de combat, chose instinctive chez un orque, et recula peu a peu dans les taillis qui bordés la sente. Il attendit.
Son ample cape sombre de couleur indéfinissable, le rendait presque invisible aux yeux d’un éventuel observateur empreintant la sente.
Il jeta un coup d’œil a clevia, elle s’était dissimulé dans les buissons de l’autre coté de la sente. Un bruit de pas, celui d’une vingtaine de créatures de taille moyenne, des hommes vu l’odeur qui venait avec le vent, une odeur acre de sueur qu’il détestait. Les pas se rapprochaient et l’on pouvait entendre les rires gras des hommes, chose qu’il avait en horreur chez ces créatures, le rire d’une femelle humaine pouvait avoir quelque chose de sympathique, mais celui d’un mâle …
Ça y’est il étaient visibles, ils étaient apparus derrière le tournant et comme prévu il étaient une vingtaine, avec des frondes, des arcs, des petites épées et des filets, une expédition de capture se dit-il, peu armée, légère et rapide mais du point de vue de la discrétion, il y avait mieux. Ce qui dénoté la fausse idée de sécurité qu’ils se faisaient. Erreur, grosse erreur. Il se décida de les laisser suivre leur chemin, il ne se sentait pas d’humeur à s’amuser gratuitement. Il se renfonça dans les buissons.
On pouvait entendre leurs voies, si détestables.
-Que foutait t-elle là j’me l’demande, une si croquante bestiole, je te la boufferait bien si on devait pas la ramener au chef, dit un des hommes.
Une série de rire gras jaillie en réponse.
-ouai mais ya aujourd’hui qu’on peut se mette se genre de chose sous la dent, renchérit un autre.
-bon les gars on se la ferme s’est pas une promenade de santé, interrompit un homme qui devait avoir une certaine autorité comme le montrait son ton.
Les hommes continuèrent d’avancer en silence. Larzog aperçut alors deux hommes qui portaient un paquet sur une branche qu’ils tenaient chacun par un bout.
Sûrement la nourriture dont ils parlent depuis tout a l’heure avec enthousiasme, Larzog se mit à saliver, il se rendit compte qu’il n’avait pas mangé depuis la veille au soir quand il avait réussit à attraper un lapin rachitique. Tant pis il aurait d’autre occasions de trouver de la nourriture.
Soudain un homme s’arrêta devant une touffe de ronces et cria après ses compagnons, Larzog fut aussitôt sur le qui-vive, sa compagne était en danger. Il bondit sur la sente en un rugissement caverneux propre à son espèce, son capuchon rabattu sur sa figure ne laissé entrevoir que ses yeux rouges vif, se qui fit forte impression sur les brigands, qui croyaient avoir affaires à un démon, le brigand qui s’été arrêtait se releva avec une dague en main, et comme il été le plus proche de Larzog, il prit son poing ganté de fer en pleine face, il tomba mort sans un cris avec la figure enfoncée. Remis de leur surprise les brigands sortirent leurs armes et essayèrent d’encercler Larzog qui, prévoyant cette manœuvre, enleva son capuchon et sortit sa grande hache à deux mains, aussi hautes que le plus grand de ses adversaires, et fit un moulinet avec, en allongeant quatre dans une gerbe de sang.
Pauvres fous, songea t-il, il n’ont aucunes chances de survivre dans un tel pays et se disent les maîtres du lieu par leur assurance.
Un grognement vint rompre le silence tendu qui s’était installé et clévia sortie des buissons juste derrière les brigands et chargea, envoyant au tapis une dizaine d’humains en leur arrachant les jambes avec ses défenses de la taille des nombreuses épées courtes que portés les hommes. Il se maudit encore de ne pas avoir réfléchit que Clévia été caché juste derrière les brigand et que ce n’été pas donc elle que l’homme avait découvert, trop tard pour reculer. Le reste de la troupe était coincé entre Clévia et lui sans aucunes possibilités de fuites par les cotés de la pistes à cause des buissons épineux trop denses pour qu’ils puissent se frayer un chemin avec leur taille. Sans prêter plus de sentiments Larzog termina d’exterminer la troupe réduite à cinq ou six individus trop peu armés pour pouvoir opposer une quelconque résistance. Son armure était couverte de sang, futilité se dit-il.
Pour le moment il avait faim et c’est tout ce qui compté. En baisant les yeux Larzog vit sa dague dans la main du premier homme qu’il avait abattu, c’était donc ça le sujet d’étonnement des humains, se dit il, il détesté l’utilisation d’énergie en vain et se le reprocha. Il se souvint aussi du paquet que transporté les hommes, de la nourriture en perspective, il remonta la piste et le trouva enfin, il était en cuir et étudié pour y mettre du gibier pour faciliter le transport il était plutôt long et étroit, sans plus attendre Larzog arracha les coutures sur toute la longueur du sac et ce qu’il découvrit était hors de toutes attentes.
Son seul compagnons, Clévia, été une laie géante, créature qui abondé dans les terres arides, qui lui avait été offerte par un chaman d’une tribut de l’est pour le remercier d’avoir éliminer un concurrent trop prétentieux, enfin bref, depuis ce temps elle ne lavait plus quitté et le suivait au grés de ses pérégrinations par delà le monde.
C’était un temps pour la méditation et la rêverie, les oiseaux chantaient et à travers les branches des chênes centenaires le ciel été bleu, qu’espérer de plus pour l’instant. Cette appréciation de la vie été encore une chose qui le différencié des autres peaux vertes, lui même se rendait compte qu’il ne partageait pas le mode de pensée de ses congénères, aussi c’est l’une des raisons pour laquelle il avait quitté sa tribut d’enfance.
Soudain clevia s’arrêta. Les oiseaux s’étaient arrêtés de chanter. Larzog se maudissait en silence de s’être distrait de la sorte, il se mit en position de combat, chose instinctive chez un orque, et recula peu a peu dans les taillis qui bordés la sente. Il attendit.
Son ample cape sombre de couleur indéfinissable, le rendait presque invisible aux yeux d’un éventuel observateur empreintant la sente.
Il jeta un coup d’œil a clevia, elle s’était dissimulé dans les buissons de l’autre coté de la sente. Un bruit de pas, celui d’une vingtaine de créatures de taille moyenne, des hommes vu l’odeur qui venait avec le vent, une odeur acre de sueur qu’il détestait. Les pas se rapprochaient et l’on pouvait entendre les rires gras des hommes, chose qu’il avait en horreur chez ces créatures, le rire d’une femelle humaine pouvait avoir quelque chose de sympathique, mais celui d’un mâle …
Ça y’est il étaient visibles, ils étaient apparus derrière le tournant et comme prévu il étaient une vingtaine, avec des frondes, des arcs, des petites épées et des filets, une expédition de capture se dit-il, peu armée, légère et rapide mais du point de vue de la discrétion, il y avait mieux. Ce qui dénoté la fausse idée de sécurité qu’ils se faisaient. Erreur, grosse erreur. Il se décida de les laisser suivre leur chemin, il ne se sentait pas d’humeur à s’amuser gratuitement. Il se renfonça dans les buissons.
On pouvait entendre leurs voies, si détestables.
-Que foutait t-elle là j’me l’demande, une si croquante bestiole, je te la boufferait bien si on devait pas la ramener au chef, dit un des hommes.
Une série de rire gras jaillie en réponse.
-ouai mais ya aujourd’hui qu’on peut se mette se genre de chose sous la dent, renchérit un autre.
-bon les gars on se la ferme s’est pas une promenade de santé, interrompit un homme qui devait avoir une certaine autorité comme le montrait son ton.
Les hommes continuèrent d’avancer en silence. Larzog aperçut alors deux hommes qui portaient un paquet sur une branche qu’ils tenaient chacun par un bout.
Sûrement la nourriture dont ils parlent depuis tout a l’heure avec enthousiasme, Larzog se mit à saliver, il se rendit compte qu’il n’avait pas mangé depuis la veille au soir quand il avait réussit à attraper un lapin rachitique. Tant pis il aurait d’autre occasions de trouver de la nourriture.
Soudain un homme s’arrêta devant une touffe de ronces et cria après ses compagnons, Larzog fut aussitôt sur le qui-vive, sa compagne était en danger. Il bondit sur la sente en un rugissement caverneux propre à son espèce, son capuchon rabattu sur sa figure ne laissé entrevoir que ses yeux rouges vif, se qui fit forte impression sur les brigands, qui croyaient avoir affaires à un démon, le brigand qui s’été arrêtait se releva avec une dague en main, et comme il été le plus proche de Larzog, il prit son poing ganté de fer en pleine face, il tomba mort sans un cris avec la figure enfoncée. Remis de leur surprise les brigands sortirent leurs armes et essayèrent d’encercler Larzog qui, prévoyant cette manœuvre, enleva son capuchon et sortit sa grande hache à deux mains, aussi hautes que le plus grand de ses adversaires, et fit un moulinet avec, en allongeant quatre dans une gerbe de sang.
Pauvres fous, songea t-il, il n’ont aucunes chances de survivre dans un tel pays et se disent les maîtres du lieu par leur assurance.
Un grognement vint rompre le silence tendu qui s’était installé et clévia sortie des buissons juste derrière les brigands et chargea, envoyant au tapis une dizaine d’humains en leur arrachant les jambes avec ses défenses de la taille des nombreuses épées courtes que portés les hommes. Il se maudit encore de ne pas avoir réfléchit que Clévia été caché juste derrière les brigand et que ce n’été pas donc elle que l’homme avait découvert, trop tard pour reculer. Le reste de la troupe était coincé entre Clévia et lui sans aucunes possibilités de fuites par les cotés de la pistes à cause des buissons épineux trop denses pour qu’ils puissent se frayer un chemin avec leur taille. Sans prêter plus de sentiments Larzog termina d’exterminer la troupe réduite à cinq ou six individus trop peu armés pour pouvoir opposer une quelconque résistance. Son armure était couverte de sang, futilité se dit-il.
Pour le moment il avait faim et c’est tout ce qui compté. En baisant les yeux Larzog vit sa dague dans la main du premier homme qu’il avait abattu, c’était donc ça le sujet d’étonnement des humains, se dit il, il détesté l’utilisation d’énergie en vain et se le reprocha. Il se souvint aussi du paquet que transporté les hommes, de la nourriture en perspective, il remonta la piste et le trouva enfin, il était en cuir et étudié pour y mettre du gibier pour faciliter le transport il était plutôt long et étroit, sans plus attendre Larzog arracha les coutures sur toute la longueur du sac et ce qu’il découvrit était hors de toutes attentes.
Dernière édition par le Mar 10 Juil - 19:06, édité 1 fois