Le travail est en cours. J'éditerai au fur et a mesure.
Tous vos commentaires et critiques sont les bienvenus.
Tout ce qui est en italique est soit en cours de développement soit a developper.
Préface
La saga de La Compagnie Noire écrite par Glen Cook est à mon sens l’une des meilleure de Dark Fantaisie jamais écrite à ce jour. J’en ai dévoré les tomes et les ai même relus. Comme vous l’avez compris, jouer avec des figurines amoureusement peintes est l’une de mes autres passions.
De là à faire d’une pierre deux coups, il n’y a qu’un pas que je me propose de franchir. Pourquoi cette bande de mercenaires qui compose cette compagnie ne s’intégrerait-elle pas à l’univers de Warhammer en règle générale et plus particulièrement de Warhammer Battle ?
Loin de devoir faire de gros ajustements pour faire cohabiter ces deux univers, je trouve qu’ils s’intègrent assez bien, aussi bien au niveau de l’historique que des règles.
Alors pourquoi ne pas voir un jour sur une table la Compagnie Noire s’opposer à l’empire, aux chevaliers bretonniens ou encore à une armée de morts vivants ? Je me propose donc de rédiger un livre d’armée permettant la mise sur pied de ce type d’affrontement. Pour ce faire je m’inspirerai librement de l’œuvre de Glen Cook.
La quête du Kathovar
Nul est capable de dire depuis quand la Compagnie Noire sillonne le vieux monde. Parfois forte de plusieurs milliers d’hommes, parfois réduite à une dizaine de membres et proche de l’extinction elle semble avoir toujours été présente. Une chose est certaine, elle a laissé partout où elle est passée un souvenir teinté d’effroi dans la conscience populaire. Dans certaines régions reculées, elle a même donné lieu à la naissance de légendes. Dans le Sud de la bretonnie ne dit-on pas aux enfants turbulents que s’ils ne s’assagissent pas la Compagnie va venir les prendre ? N’existe-t-il pas en Tilée une légende faisant état d’une armée de soldats venant d’un monde nommé Kathovar et semant la terreur sur son passage ?
C’est pourtant cette dernière légende qui sans le savoir se rapproche le plus de la vérité. Si ses effectifs ont fluctué au gré des conflits et batailles livrées, la Compagnie Noire existe bel et bien. Troupe de mercenaires, elle a toujours monnayé ses services, que l’employeur soit un tyran local voulant asseoir son autorité, une guilde désirant effrayer ses rivales, ou le bourgmestre d’une cité tentant d’éradiquer une bande de skavens. Pourtant, le but recherché par ses membres n’est pas l’enrichissement. Le but réel de ces spadassins est de trouver un moyen pour retourner chez eux, au Kathovar. Si de la compagnie originelle il ne reste plus de membre en vie, cette tradition de la recherche des origines, de la recherche de ce monde merveilleux c’est transmise sans interruption jusqu’à aujourd’hui. C’est également cette promesse d’un monde merveilleux qui cimente la cohésion mais aussi l’adhésion et la fidélité de la matière première dont dépend la survie de cette compagnie : ses membres.
Il s’agit la, par ailleurs, de la seule certitude qu’ont ces mercenaires : la Compagnie Noire vient du Kathovar et son destin est d’y retourner. Ils ne savent cependant pas comment y parvenir. Ils ne savent pas où est le Kathovar. Ils ne sont même pas certains qu’il existe réellement. Bref, de nombreuses questions primordiales pour eux restent sans réponses et leur quête est tout simplement de pouvoir y répondre.
C’est pour cela que la Compagnie Noire est restée une troupe de mercenaires. Leur contrat rempli, ils reprennent la route, parcourant le vieux monde à la recherche d’une chose qu’ils ne trouveront peut être jamais et d’un nouvel employeur qui assurera leur subsistance pour un temps au moins.
Selon les régions traversées par cette troupe, le souvenir qu’elle laisse derrière elle est très variable. Elle reste généralement en marge des zones les plus populeuses, se contentant d’y envoyer quelques membres à la recherche d’un contrat et de vivres. Dans ces cas là, les rares hameaux traversés non que très rarement eu à pâtir de cette rencontre. Par contre, une foi qu’elle a trouvé un employeur, elle ne reculera devant rien pour mener sa mission à terme, n’hésitant pas à exterminer des villes entières avec une sauvagerie que le temps n’arrive pas à estomper.
Une seule constante demeure : certes ce sont des mercenaires mais leur code de l’honneur leur interdit de trahir celui ou ceux qui les ont engagés.
Organisation de la Compagnie
La compagnie noire est une troupe composée de mercenaires. Son organisation interne est très basique. Composée uniquement d’humains, elle est commandée par un capitaine secondé par celui qui aura pour charge de le remplacer, l’analyste. Il a sous ses ordres des lieutenants dont le nombre est variable selon l’importance de l’armée qui eux même ont sous leurs ordres des troupes.
La troupe, piétons ou cavaliers, est composée soit entièrement de membres de la compagnie, soit par des contingents de la population locale enrôlés ou mis à disposition pour l’occasion. Ils sont toujours encadrés par des membres de la compagnie : les sergents.
La compagnie dispose également de magiciens qui font toujours parti de cette dernière, au même titre que ses troupes d’élite.
De plus, la compagnie a le savoir faire nécessaire pour construire ses propres machines de guerre en cas de siège par exemple. Dans ce cas ces machines ne seront jamais des canons ou autre engin utilisant la poudre mais bien souvent des lancefeu. Dans de très rares cas, le commanditaire peut mettre des machines de guerre à la disposition de la compagnie.
Enfin, la Compagnie Noire dispose d’un Analyste dont le rôle est de consigner dans des registres l’histoire de cette dernière. Il en est la mémoire vivante et bien souvent le capitaine fait grand cas de ces conseils dont la source est l’histoire, autrement dit l’expérience. Lors des batailles selà se traduit bien souvent par des avantages stratégiques.
Tous vos commentaires et critiques sont les bienvenus.
Tout ce qui est en italique est soit en cours de développement soit a developper.
La Compagnie Noire.
Préface
La saga de La Compagnie Noire écrite par Glen Cook est à mon sens l’une des meilleure de Dark Fantaisie jamais écrite à ce jour. J’en ai dévoré les tomes et les ai même relus. Comme vous l’avez compris, jouer avec des figurines amoureusement peintes est l’une de mes autres passions.
De là à faire d’une pierre deux coups, il n’y a qu’un pas que je me propose de franchir. Pourquoi cette bande de mercenaires qui compose cette compagnie ne s’intégrerait-elle pas à l’univers de Warhammer en règle générale et plus particulièrement de Warhammer Battle ?
Loin de devoir faire de gros ajustements pour faire cohabiter ces deux univers, je trouve qu’ils s’intègrent assez bien, aussi bien au niveau de l’historique que des règles.
Alors pourquoi ne pas voir un jour sur une table la Compagnie Noire s’opposer à l’empire, aux chevaliers bretonniens ou encore à une armée de morts vivants ? Je me propose donc de rédiger un livre d’armée permettant la mise sur pied de ce type d’affrontement. Pour ce faire je m’inspirerai librement de l’œuvre de Glen Cook.
La quête du Kathovar
Nul est capable de dire depuis quand la Compagnie Noire sillonne le vieux monde. Parfois forte de plusieurs milliers d’hommes, parfois réduite à une dizaine de membres et proche de l’extinction elle semble avoir toujours été présente. Une chose est certaine, elle a laissé partout où elle est passée un souvenir teinté d’effroi dans la conscience populaire. Dans certaines régions reculées, elle a même donné lieu à la naissance de légendes. Dans le Sud de la bretonnie ne dit-on pas aux enfants turbulents que s’ils ne s’assagissent pas la Compagnie va venir les prendre ? N’existe-t-il pas en Tilée une légende faisant état d’une armée de soldats venant d’un monde nommé Kathovar et semant la terreur sur son passage ?
C’est pourtant cette dernière légende qui sans le savoir se rapproche le plus de la vérité. Si ses effectifs ont fluctué au gré des conflits et batailles livrées, la Compagnie Noire existe bel et bien. Troupe de mercenaires, elle a toujours monnayé ses services, que l’employeur soit un tyran local voulant asseoir son autorité, une guilde désirant effrayer ses rivales, ou le bourgmestre d’une cité tentant d’éradiquer une bande de skavens. Pourtant, le but recherché par ses membres n’est pas l’enrichissement. Le but réel de ces spadassins est de trouver un moyen pour retourner chez eux, au Kathovar. Si de la compagnie originelle il ne reste plus de membre en vie, cette tradition de la recherche des origines, de la recherche de ce monde merveilleux c’est transmise sans interruption jusqu’à aujourd’hui. C’est également cette promesse d’un monde merveilleux qui cimente la cohésion mais aussi l’adhésion et la fidélité de la matière première dont dépend la survie de cette compagnie : ses membres.
Il s’agit la, par ailleurs, de la seule certitude qu’ont ces mercenaires : la Compagnie Noire vient du Kathovar et son destin est d’y retourner. Ils ne savent cependant pas comment y parvenir. Ils ne savent pas où est le Kathovar. Ils ne sont même pas certains qu’il existe réellement. Bref, de nombreuses questions primordiales pour eux restent sans réponses et leur quête est tout simplement de pouvoir y répondre.
C’est pour cela que la Compagnie Noire est restée une troupe de mercenaires. Leur contrat rempli, ils reprennent la route, parcourant le vieux monde à la recherche d’une chose qu’ils ne trouveront peut être jamais et d’un nouvel employeur qui assurera leur subsistance pour un temps au moins.
Selon les régions traversées par cette troupe, le souvenir qu’elle laisse derrière elle est très variable. Elle reste généralement en marge des zones les plus populeuses, se contentant d’y envoyer quelques membres à la recherche d’un contrat et de vivres. Dans ces cas là, les rares hameaux traversés non que très rarement eu à pâtir de cette rencontre. Par contre, une foi qu’elle a trouvé un employeur, elle ne reculera devant rien pour mener sa mission à terme, n’hésitant pas à exterminer des villes entières avec une sauvagerie que le temps n’arrive pas à estomper.
Une seule constante demeure : certes ce sont des mercenaires mais leur code de l’honneur leur interdit de trahir celui ou ceux qui les ont engagés.
Organisation de la Compagnie
La compagnie noire est une troupe composée de mercenaires. Son organisation interne est très basique. Composée uniquement d’humains, elle est commandée par un capitaine secondé par celui qui aura pour charge de le remplacer, l’analyste. Il a sous ses ordres des lieutenants dont le nombre est variable selon l’importance de l’armée qui eux même ont sous leurs ordres des troupes.
La troupe, piétons ou cavaliers, est composée soit entièrement de membres de la compagnie, soit par des contingents de la population locale enrôlés ou mis à disposition pour l’occasion. Ils sont toujours encadrés par des membres de la compagnie : les sergents.
La compagnie dispose également de magiciens qui font toujours parti de cette dernière, au même titre que ses troupes d’élite.
De plus, la compagnie a le savoir faire nécessaire pour construire ses propres machines de guerre en cas de siège par exemple. Dans ce cas ces machines ne seront jamais des canons ou autre engin utilisant la poudre mais bien souvent des lancefeu. Dans de très rares cas, le commanditaire peut mettre des machines de guerre à la disposition de la compagnie.
Enfin, la Compagnie Noire dispose d’un Analyste dont le rôle est de consigner dans des registres l’histoire de cette dernière. Il en est la mémoire vivante et bien souvent le capitaine fait grand cas de ces conseils dont la source est l’histoire, autrement dit l’expérience. Lors des batailles selà se traduit bien souvent par des avantages stratégiques.